L’AÉMFQ une association bien implantée depuis 1997 réitère son offre de services aux éducatrices en milieu familial dans le contexte toujours actuel du statut de « travailleur autonome ». Défendre le statut de travailleur autonome, une expertise bien implantée au sein de l’AÉMFQ !

Considérant que l’éducatrice en milieu familial est une travailleuse autonome, à la direction de son entreprise de services, assumant pleinement ses responsabilités professionnelles et faisant valoir ses droits dans une démarche éthique visant la reconnaissance de sa profession, l’AÉMFQ propose :

Une représentation exclusive :

Seules les éducatrices en milieu familial sont desservies par l’AÉMFQ;

Une représentation axée sur le travailleur autonome :

L’éducatrice en milieu familial est une professionnelle qui offre un service de qualité à sa clientèle, au sein de la garde régie, dans un équilibre entre ses droits et ses responsabilités et non à titre de service public institutionnalisé;
Le travailleur autonome doit avoir le pouvoir de choisir ses services administratifs et participer à l’amélioration de ses conditions de travail par l’amélioration de la loi, des règlements et des normes administratives le régissant;
Les droits du travailleur autonome dont celui de pouvoir choisir l’organisation de son service doivent lui être en permanence accordés;
Le respect de son environnement familial doit être respecté.

Une représentation qui ne fait aucune concession concernant vos droits :

L’éducatrice est imputable de son service, elle se doit d’avoir la latitude d’organiser son service dans le respect de ses exigences professionnelles et de son propre environnement;
Les règles et les lois régissant les services de garde en milieu familial doivent être empreintes de la présence de cette réalité à l’inverse d’une tendance visant à réduire son pouvoir décisionnel;
Les normes administratives se doivent d’être régularisées afin que la réalité de la garde éducative en milieu familial soit la même pour toutes les éducatrices. Tous les bureaux coordonnateurs devraient avoir la même directive ministérielle d’interprétation. Une mission non complétée.

Une vie associative présente et active avec un modèle éprouvé de communication vous donnant droit :

D’être consultée;
De participer à la vie démocratique aux niveaux local, régional et provincial;
De recevoir toute l’information sans filtres, ni orientation dirigée;
L’éducatrice informée peut faire les choix appropriés pour elle, sa famille et sa profession.

Des services associatifs adaptés aux exigences de la garde éducative en milieu familial :

Une boîte vocale informative sur le milieu de la garde éducative en milieu familial;
Un service conseil et/ou d’accompagnement pour les convocations par les BC;
Un service d’accompagnement pour le tribunal administratif du Québec;
Un code d’éthique;
Un site Internet et son blogue.

La tarification de la vie associative à l’AÉMFQ :

À l’AÉMFQ, toutes les sommes versées par les éducatrices demeurent au sein de leur association pour leurs propres services. Mais, outre ce fait simple qui démontre avec évidence une économie à faire, l’AÉMFQ a toujours lutté contre le principe du pourcentage. Pourquoi payer avec un pourcentage ? Cela ne ressemblerait-il pas à une autre taxe ? À l’inverse, payons-nous l’essence au pourcentage ou encore l’épicerie ?

Nous croyons que payer un prix fixé au préalable pour la valeur du service reçu et disponible respecte plus la vision de l’AÉMFQ. La vie associative doit être fixée et ensuite tout le monde sans discrimination paie son juste prix. Un prix unique de base est pour nous plus équitable.

Et, considérant que par la suite chacune fait les choix qui lui sont propres et ainsi ajuste sa tarification à ses besoins et à ses moyens, les principes de choisir ses services administratifs pour le travailleur autonome est donc bien démontré.

La cotisation à la vie associative est de 300 $ annuellement, donc un paiement de 25 $ mensuellement.