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32e jour: La qualité de la vie associative dépend...

  • Photo du rédacteur: Anne Donald
    Anne Donald
  • 31 juil. 2013
  • 2 min de lecture

Une association est constituée de ses membres. Elle est dirigée par ses membres et au service de ceux-ci. La qualité de la vie associative est donc entièrement dépendante de l’implication de ses membres.

Vivre en collectivité demande toujours énormément de doigté. Il est rare que tout le monde puisse toujours être d’accord. C’est pour cela qu’il est important dans une société démocratique que des règles soient fixées et que des conséquences soient appliquées lorsque celles-ci sont bafouées.

Il y aura toujours des personnes pour et d’autres contre. Tout le monde justifiera ses actes d’une manière ou d’une autre. Nous le comprenons. Ce n’est pas d’hier que les forces s’opposent. Outre le bien et le mal pour lequel tout le monde pourrait s’entendre à dire qu’il faut éliminer le mal, toutes les autres positions tirent leur justification d’une vision toute personnelle.

À l’AÉMFQ la vision véhiculée est une vision de respect de « l’individualité ». Le syndicalisme véhicule la vision de la « collectivité ». Selon notre position la vision de la collectivité vient en contraction avec le travailleur autonome qui doit assumer tous ses risques économiques SEUL. Lorsqu’il lui manque des enfants, le manque à gagner est son seul problème. Non ? C’est pourquoi nous véhiculons la vison de l’individualité qui est plus près du quotidien de l’éducatrice en milieu familial.

Mais nous comprenons qu’il est aussi humain de vouloir le meilleur des deux mondes. Nous faisons en sorte de tirer profit du nombre par rapport aux lois du marché économique. Mais est-ce réellement possible de tout avoir ? À qui reviendraient les avantages ?

N’essayons-nous pas de nous faire croire que l’individualité est devenue le cousin du mal ? Mais pourquoi les risques restent-ils individuels ? Enfin pour nous nous y voyons une énorme contradiction.

Nous osons le dire, nous osons le publier, nous osons laisser les autres s’amuser à contre dire tout ce que nous disons au lieu de faire la promotion positive de leur propre vision ou même à critique le style littéraire ou la qualité grammaticale. Ce qui à mon avis démontre clairement leur manque de profondeur.

Mais vous éducatrices et éducateurs qu’osez-vous faire ?

Car rappelez-vous, nous aurons beau dire, nous comme les centrales syndicales, c’est vous qui décidez, c’est vous qui avez le pouvoir de faire un choix ! Votre avenir vous appartient ! Le profil de votre profession vous appartient !

Rien ne se fera sans votre propre implication !


 
 
 

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