top of page

26e jour: La démocratie vs le harcèlement ou la mesquinerie?

Je me suis arrêtée à réfléchir à la page facebook qui contrefait entièrement la nôtre sans aucune originalité d’ailleurs. Les personnes derrière cette page ont clairement dit avoir été bannies de la page de l’AÉMFQ et ont pris ce moyen pour continuer à tenir leur propos négatifs et surtout en toute impunité protégées par l’anonymat. Et parce qu’elles ont été bannies, elles accusent l’AÉMFQ de ne pas « être démocratique ».


C’est donc mon sujet de réflexion de ce matin, en faisant le lien avec l’AÉMFQ bien sur, mais aussi, avec la situation des éducatrices regroupées dans un bureau coordonnateur. Tout d’abord une petite définition :


Le terme de démocratie peut servir à qualifier le fonctionnement de tout corps ou organisation sociale (organisme public ou privé, associations, entreprise), le plus souvent par le biais du qualificatif de démocratique. Cela signifie alors généralement que ce fonctionnement repose sur l’égalité des membres du groupe, sur des procédures de délibérations, ou encore de votes et/ou d’élections.


Le harcèlement est un enchaînement d’agissements hostiles dont la répétition affaiblit psychologiquement l’individu qui en est la victime. Il peut s’agit de harcèlement moral, comme des insultes ou des menaces, ou d’agressions physiques chez un ou plusieurs individus parfois différencié à cause de leur couleur de peau, religion, genre, sexualité capacités physiques ou mentales ou encore j’ajouterai « leur opinion ». Lorsque le harcèlement est effectué par un groupe, il s’agit de mobbing.


Je crois sincèrement que certaines personnes confondent leurs droits avec le « mobbing ». Elles croient sincèrement que leurs propres opinions et intérêts peuvent justifier le harcèlement de toutes personnes en désaccord avec elles. Elle croient que le harcèlement est justifié et sont complètement imperméables à la notion de respect. Le seul respect qu’elles comprennent c’est celui de pouvoir s’exprimer, se répéter, insulter, injurier, et recommencer sans cesse à exprimer la même opinion sans faits nouveaux ou encore basés sur des faits montés de toutes pièces. Cela s’apparente à « tous les moyens sont bons pour arriver à nos fins ».


À l’AÉMFQ, nous osons proposer quelque chose d’autre. Pas nouveau, car ce que nous proposons nous l’avons mis en place près de 15 ans. C’est l’expérience qui nous permet de dire que « c’est possible ». De voir arriver les choses avec simplicité. L’expertise permet la simplicité tout comme l’efficacité.


Mais vous êtes toutes capables de voir la réation en chaîne des personnes qui se sentent menacées ! Des propos qu’elles tiennent, des gestes qu’elles posent. Si l’AÉMFQ, un organisme, fait l’objet de tant de mesquinerie, je n’ose imaginer ce que ces personnes se permettent, en personne, auprès de leur propre groupe de collègues.


Ma question : pourquoi accepter de leur donner encore ce pouvoir ? N’avez-vous pas envie de vivre la vraie démocratie : l’égalité des membres et le respect qui est dû à chacun ?


Car empêcher le harcèlement est une responsabilité et non un pied de nez à la démocratie ! Donnez un environnement respectueux de discussion et de réflexion est aussi une responsabilité de l’AÉMFQ.


S’asssurer que toutes auront l’opportunité de s’exprimer et de réfléchir est essentiel. Il est pour nous important de prendre le temps de nous assurer que toutes recoivent le plus d’information possible et d’explications. Nous avons à coeur d’être près de vous, pour vous et surtout avec vous. Voilà la responsabilité d’un organisme représentatif, personne laissé à lui-même.


Ne pas être d’accord n’est pas un problème, NON, est un petit mot très simple. Rien ne sert d’argumenter !


Et le OUI est un mot rempli d’espoir et de possibilités ! Permettez-vous d’oser !


bottom of page